La fin de l'Histoire ou plutôt la fin des idéologies est une théorie née dans les années 90 lors de l'effondrement de l'URSS et du communisme. Des auteurs comme Francis Fukuyama pensaient que le modèle des démocraties libérales avait définitivement triomphé et qu'il ne serait jamais supplanté par aucun autre système.
Ce qui est amusant c'est que cette théorie ne s'est jamais appliquée au capitalisme ultra libéral, qui s'est imposé dans ces mêmes années 90. Or l'effondrement du système financier international, dont nous allons désormais vivre la phase 2, marque bien évidemment la fin de cette ultime idéologie, incroyablement cynique et égoïste.
Annoncé depuis déjà quelques mois, l'effondrement du dollar et par extension des Etats-Unis est désormais imminente. Ces dernières heures, trois articles ont été publiés allant dans ce sens :
- Destruction du dollar – Explications
- Début de la séquence d'insolvabilité globale
- la fin du dollar et de la livre sterling
- Unionisation des banques
Assez attentif à ces questions, j'entends souvent revenir la date du mois de Mars 2009 comme possible paroxysme de la crise. Difficile de dire ce qui va se passer. Je ne suis pas madame Irma. Mais ce qui est certain, c'est qu'on ne peut pas débourser des milliers de milliards d'euros ou de dollars sans que quelqu'un ait un jour à les payer... pour de vrai.
Ce qui est amusant c'est que cette théorie ne s'est jamais appliquée au capitalisme ultra libéral, qui s'est imposé dans ces mêmes années 90. Or l'effondrement du système financier international, dont nous allons désormais vivre la phase 2, marque bien évidemment la fin de cette ultime idéologie, incroyablement cynique et égoïste.
Annoncé depuis déjà quelques mois, l'effondrement du dollar et par extension des Etats-Unis est désormais imminente. Ces dernières heures, trois articles ont été publiés allant dans ce sens :
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Assez attentif à ces questions, j'entends souvent revenir la date du mois de Mars 2009 comme possible paroxysme de la crise. Difficile de dire ce qui va se passer. Je ne suis pas madame Irma. Mais ce qui est certain, c'est qu'on ne peut pas débourser des milliers de milliards d'euros ou de dollars sans que quelqu'un ait un jour à les payer... pour de vrai.