Après m'être un peu éloigné des questions politiques ces dernières années, j'avoue avoir été sensible à l'appel lancé l'été dernier par Natacha Polony pour la création d'un "comité Orwell", rassemblant des journalistes et des blogueurs. Comme Natacha l'explique mieux que moi, le clivage entre la population et la caste médiatique s'accroit et il était même particulièrement criant lors du référendum sur le traité constitutionnel européen de 2005, les uns votant "non", les autres appelant majoritairement à l'adopter
Pour le moment, le comité hésite entre un positionnement plutôt sympathique en faveur de la diversité des opinions dans les journaux, et une posture plus engagée, et visant à rééquilibrer la pensée dominante en portant ses propres sujets économiques et politiques. Parmi les nombreux sujets sur la table, le TAFTA et au delà de ce texte, le déséquilibre des relations transatlantiques.
Le comité Orwell entend bien évidemment peser sur le prochain débat présidentiel et j'espère, à mon petit niveau, pousser certains thèmes qui me sont chers tels que la Russie ("qui mange les enfants"), l'Arabie ("qui lutte contre le terrorisme") et au delà, sur la nécessaire revalorisation du doute, base de la pensée occidentale moderne ("cogito ergo sum"), mais que certains grands prêtres médiatiques ont décidé de criminaliser.
Pour le moment, le comité hésite entre un positionnement plutôt sympathique en faveur de la diversité des opinions dans les journaux, et une posture plus engagée, et visant à rééquilibrer la pensée dominante en portant ses propres sujets économiques et politiques. Parmi les nombreux sujets sur la table, le TAFTA et au delà de ce texte, le déséquilibre des relations transatlantiques.
Le comité Orwell entend bien évidemment peser sur le prochain débat présidentiel et j'espère, à mon petit niveau, pousser certains thèmes qui me sont chers tels que la Russie ("qui mange les enfants"), l'Arabie ("qui lutte contre le terrorisme") et au delà, sur la nécessaire revalorisation du doute, base de la pensée occidentale moderne ("cogito ergo sum"), mais que certains grands prêtres médiatiques ont décidé de criminaliser.