J'ai toujours été frustré d'être né après la conquête de la Lune, de n'avoir jamais pu m'extasier devant les rebonds d'un astronaute sur notre satellite, avec le sentiment que l'Histoire s'écoulait dans le mauvais sens depuis un quart de siècle.
Encore populaire dans les années 80, la conquête spatiale n'avait hélas pas survécu à l'explosion de la navette Challenger (1986) et surtout à celle de l'URSS que les USA devaient à tout prix battre sur ce nouveau terrain.
Il y a 3 ans, lors d'un dîner organisé à Paris par Loic LeMeur, j'ai eu l'occasion de discuter 5 minutes avec Elon Musk, de passage à Paris. L'homme était déjà une star dans la Silicon Valley mais restait méconnu du grand public. Depuis, Tesla a bousculé l'industrie automobile et SpaceX a réussi à faire décoller et atterrir ses fusées.
Ce soir là, Elon Musk nous avait tout simplement expliqué qu'il voulait aller sur Mars et... y mourir. J'étais fasciné par sa simplicité... et son ambition. Hier soir, sa société SpaceX a dévoilé son FBR et son FBS, deux véhicules dérivés de la fusée Falcon et destinés à transporter dès 2024 des hommes sur Mars.
Musk peut être critiqué pour son optimisme sur les dates mais certainement pas pour son incroyable détermination à concrétiser ses rêves. Et je ne doute pas une seule seconde qu'il sera, dans l'histoire de l'humanité, le premier Martien. Le rêve spatiale renait.
Encore populaire dans les années 80, la conquête spatiale n'avait hélas pas survécu à l'explosion de la navette Challenger (1986) et surtout à celle de l'URSS que les USA devaient à tout prix battre sur ce nouveau terrain.
Il y a 3 ans, lors d'un dîner organisé à Paris par Loic LeMeur, j'ai eu l'occasion de discuter 5 minutes avec Elon Musk, de passage à Paris. L'homme était déjà une star dans la Silicon Valley mais restait méconnu du grand public. Depuis, Tesla a bousculé l'industrie automobile et SpaceX a réussi à faire décoller et atterrir ses fusées.
Ce soir là, Elon Musk nous avait tout simplement expliqué qu'il voulait aller sur Mars et... y mourir. J'étais fasciné par sa simplicité... et son ambition. Hier soir, sa société SpaceX a dévoilé son FBR et son FBS, deux véhicules dérivés de la fusée Falcon et destinés à transporter dès 2024 des hommes sur Mars.
Musk peut être critiqué pour son optimisme sur les dates mais certainement pas pour son incroyable détermination à concrétiser ses rêves. Et je ne doute pas une seule seconde qu'il sera, dans l'histoire de l'humanité, le premier Martien. Le rêve spatiale renait.