Symbole d'un certain conservatisme, Neuilly sur Seine offre un étrange spectacle à la France, où un candidat parachuté par le président (David Martinon), devrait être remplacé par une liste co-présidée par ... le fils du président (Jean Sarkozy). Une démarche "dynastique" assez ahurissante de la part d'un président dont le discours sur la "France d'Après" n'est donc pas en conformité avec des actes, plus proches d'une "France d'avant" où les titres s'héritaient. Comme je le craignais dans ce précédent billet, l'ancien régime est de retour et les républicains, de droite ou de gauche, feraient bien de s'en inquiéter.